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Revue de presse – Mortalité anormale des abeilles au Québec en 2022 et 2024

Dernière mise à jour : 8 juin 2024

Ce printemps, pour la deuxième fois en trois ans, de nombreuses colonies d’abeilles au Québec n’ont pas survécu à l’hiver, laissant en plan de nombreuses entreprises apicoles dans la province. Cette mortalité anormale des abeilles, constatée au déballage des ruches, serait, encore une fois, attribuable au Varroa destructor, un parasite fort redouté par la communauté d’apiculteurs. Les ravages sont tellement important, au point où la saison 2024 s’annonce plus difficile. 

Voici une sélection d’articles de journaux qui abordent cet enjeu et qui vous permettent de mieux comprendre la réalité des apiculteurs du Québec. (Certains articles pourraient nécessiter un abonnement pour être lu au complet.)

Printemps 2024

Printemps 2022

Varroa destructor

Une infestation qui n’est pas sans conséquence

Le Varroa est un parasite qui fait beaucoup de ravages dans les cheptels. Comme l’explique cet article, l’utilisation des pesticides pourrait favoriser son apparition et son action. 

Mais le varroa n’est qu’un des multiples facteurs de stress auxquels sont exposées les abeilles de façon simultanée.

Il ne faut pas oublier que l’importante mortalité anormale chez les abeilles a des conséquences. En effet, la production locale de miel est grandement affectée. 

Et qui dit moins de pollinisation dit moins de récoltes de toutes sortes. En effet, la quantité d’abeilles a un impact direct sur tout le reste de la chaîne alimentaire, comme l’explique cet article : 

Évidemment, les autorités compétentes réaliseront des études pour mieux comprendre la mortalité anormale des abeilles ces derniers mois. Les rapports de 2022 sont disponibles.

Abeilles mortes